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|   Mec de suivre : www.lesnavigationsdelucos.com |  J'ACHETE 
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|   | Juin 2009, Perrine embarque
                    comme co-skipper pour une petite croisière d'échauffement au
                    Spitsberg. Elle vient tout juste de réussir le concours
                    d'entrée à A l'époque de la marine à
                    voile, cela s'appelait : Bravo !!! |   | 
| Mercredi 22 juin | 
|   | Île de Tahiti | Tout le monde rêve de
                    naviguer jusqu'à Tahiti. Moi aussi ! | 
|   | Isabelle Barbeau, Zaza pour
                    les potes, habite à Moorea. Elle taquine la barre des lasers
                    et autres dériveurs depuis de nombreuses années dans les
                    régates internationales. Dans toutes les îles du Pacifique
                    elle est plus connue que Tabarly. Cet été, elle arbitre le
                    Tour de France à la voile. |   | 
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| Les Marquises sont des îles
                    montagneuses qui plongent dans la mer. Les Tuamotu sont des
                    îles très basses qui sont formées par une ceinture de
                    corail. | 
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| Le génois a besoin d'un petit
                    lifting : la bande U.V. est à changer. Benoit PARNODAU est
                    un ancien coureur (looser) au large. Il se propose de faire
                    le boulot, le contrat est signé. | Tube de jaumière de la mèche
                    de gouvernail. | Fedor, soudeur alu refaçonne
                    ma ferrure de bôme.   | 
|   |   | Papeete Je prends le bus et je visite
                    la ville et le port. | 
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| Entre le port et la grande
                    avenue, il y a une immense place et, le soir, les roulotes
                    débarquent. C'est une spécialité polynésienne. |   |   | 
|   | La musique traditionnelle
                    polynésienne.  Ukulélés, guitare et une
                    poubelle renversée reliée avec une corde à un bâton, la main
                    monte et descends le long du manche pour ajuster la note.  |   | 
| Lundi 4 juillet | 
| Les travaux à bord sont
                  terminés, avec plus ou moins de bonheur. La ferrure, la fuite
                  au niveau du tube de jaumière plus quelques petits travaux
                  sont bons. Le génois : bof ! Le Yacht Club de Tahiti est une bonne escale technique. Je remercie tous les gens qui n'ont bien accueilli. Au mouillage il n'est pas possible de se baigner pour cause de sortie d'égout. On est loin de l'eau couleur turquoise et du sable blanc. De toutes façons, il n'y a pas de plage et tous les rivages sont privatisés : impossible de débarquer avec l'annexe, je la gare au YCT. Mais juste derrière le club il y a une grande avenue avec plein de voitures qui vont à donf. Sans véhicule, tu ne peux aller nulle part et le service bus est réduit au minimum. Après 2 semaines d'escale, je quitte Tahiti sans regrets. Direction : Moorea. A suivre... | 
| Île de Moorea | Je mouille dans la baie d'Opunohu : eau turquoise, sable blanc et cocotiers. La célèbre montagne Mouaroa est magnifique et impressionnante malheureusement elle est impossible à gravir. Les mouillages sont réglementés et très limités sur l'île. | 
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|   | Je pars en expédition à pied et en un peu en stop. J'arrive à un belvédère d'où la vue est magnifique : devant moi, la baie d'Opunohu et la baie Cook. Derrière moi : 4 cars de touristes, des quads en expédition et des 4 x 4 à la pelle. | 
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| Les plages publiques ne sont
                    pas nombreuses sur Moorea. Les autres sont squattées par les
                    grandes enseignes de l'hôtellerie haut de gamme ou tout
                    simplement par des propriétés privées.  | 
|    Je visite quelques sites
                    archéologiques. |   |   | 
| Les problèmes techniques
                    s'enchainent, à peine arrivé au mouillage à Moorea, le
                    sondeur tombe en panne. C'est l'instrument n° 1 à bord et
                    sans sondeur c'est pas possible d'avancer. Au large pas de
                    problème mais rentrer dans une passe puis trouver un
                    mouillage sans sondeur, c'est pas possible. Autant faire un
                    créneau en voiture les yeux bandés ! | 
| Jeudi 28 juillet | 
| Île de Raiatea |   | Une journée et une nuit de mer m'amène à Uturoa. | 
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 | La rue principale d'Uturoa | Une piste permet de monter au Mt Tapioi, 350 mètres. | Le motu de rêve dans la passe de l'île Tahaa. | 
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 |  Je quitte le lagon qui
                    réunit les îles Raiatea et Tahaa par la passe Paipai,
                    quelques dizaines de mètres de large seulement et ça déferle
                    de chaque côté, en plus il y a du gros courant. | 
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| Île de Bora-Bora |   Le 4 août, en fin de journée
                    je rentre dans le lagon sous un gros grain. |   | 
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 | Je mouille devant Vaïtape par 30 mètres de fond, pas facile ! Je débarque sur la plage qui ressemble plus à un dépotoir à ordure qu'à une plage. Un panneau m'indique clairement que je ne suis pas le bien venu. | Dans la journée je me dirige
                    vers un autre mouillage : impossible de débarquer sur aucune | 
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 | Le mieux que je puisse faire est de quitter cette île au plus vite. Désolé de casser le mythe mais l'ambiance dans le quartier est détestable ! | 
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| Île de Maupiti |   | Quelques heures de route sous
                    spi m'amène sur  | 
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 | La passe 'Onoiau n' a pas une bonne réputation, très étroite et exposée au vent de l'île. C'est la seule passe d'entrée. Il ne faut pas se présenter devant par mauvais temps. | 
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|   |  l'île Maupiti fait partie
                    de l'archipel de la Société et plus précisément des îles
                    sous le vent. |   | 
|  Maupiti à tous les attraits
                     |   |   | 
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 |  Je passe une première nuit
                    au mouillage derrière la pointe Tamaupiti. Je débarque sur
                    la plage du motu. Il y a quelques farés de pêcheurs, tous me
                    saluent. | 
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| La pointe Hotuparaoà domine le lagon. | " Roxane " au mouillage devant la mairie de Maupiti. | Les pêcheurs ont leur méthode pour garer leurs barques. | 
|   | Hinao  La bière de Tahiti
                    accompagne toutes les
                    fêtes des jeunes et de tout le monde en général. Les gens
                    d'ici sont très accueillants. Il me suffit de marcher dans
                    le village pour me faire interpeller :  " Eh ! le popa, tu viens
                    d'où ? 
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|  Je fais la rencontre de
                    Tevae. Elle confectionne des colliers, bracelets et autres
                    objets en coquillages. |   |   | 
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 | Un sentier escarpé mène au sommet du mont Tiriano, environ 400 mètres de dénivelé. La vue est magnifique. | 
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|   |  Le mouillage devant le
                    village est magique :  Suivez mon index droit pour trouver " Roxane ". |   | 
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| Mercredi 10 août | 
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 | Je quitte Maupiti pour Maupihaa, 200 km dans l'ouest-sud-ouest. Une île presque déserte. | 
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|   | Atoll de Maupihaa De forme patatoïde, 6 km de diamètre, un motu, une dizaine de farés répartis sur une plage de sable blanc de 8 km et 15 habitants qui vivent du coprah.  Et, surprise ! Il y a un
                    Ski Club dont la présidente est Hinna. |   | 
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 |  Peu de voiliers font escale
                    ici. La passe n'est pas évidente et la carte est
                    complètement fausse : une erreur de 180 mètres dans le
                    sud-ouest et aucune des balises n'est présente. | 
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 |  io, | 
 | Fernandino, | Tivao, | 
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 | Le poisson abonde dans le lagon et pas besoin d'aller loin. Mais il faut se méfier des requins qui sont ici très agressifs. Les gens chassent toujours à 2. | 
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|   |  Pour la cuisson : facile. |   | 
| Les crabes de cocotier sont énormes et au gout, ça vaut largement la langouste. Ils vivent autour des cocotiers et il faut les attraper la nuit avec une torche : facile. |   | Une partie du poisson est coupé en petits morceaux est trempe dans le jus de citron. |   | 
|   | Il faut râper la coco et la presser pour extraire le lait de coco et le rajouter au poisson cru. On met tout sur la table et on mange avec les doigts. La bouteille en plastique c'est de la bière locale :  Jus de fruits local, levure
                    et sucre.  |   | 
| Les bonnes soirées se finissent toujours en musique. L'accueil des gens de Maupihaa a été très largement au dessus de tout ce que j'ai eu l'occasion de rentrer en Polynésie. Merci à vous tous. Continuez à vivre heureux sur votre île du bout du monde. |   |   | 
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 | Maupihaa est l'atoll accessible le plus à l'ouest de la Polynésie, en sortant de la passe je la quitte définitivement. Une page importante se referme mais la route est encore longue... | 
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| Dimanche 14 août 2016 | 
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| Cap sur la Nouvelle Zélande. A suivre... | 
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